Soziale Medien und psychische Gesundheit von Jugendlichen

Der Regierungsrat wird beauftragt, gemeinsam mit den kantonalen Beratungsstellen wirksame und präventive Massnahmen für die psychische Gesundheit bei Kindern und Jugendlichen im Umgang mit Sozialen Medien zu erarbeiten und einzuführen. Dabei sollen zum einen Möglichkeiten für Jugendliche geschaffen werden, sich intensiver mit dem eigenen Konsumverhalten und den Folgen auseinanderzusetzen, und zum anderen sollen Eltern Möglichkeiten geboten werden, Hilfe und Beratung zu erhalten.

Der Regierungsrat wird zudem beauftragt, die präventiven Massnahmen grundsätzlich zu verstärken. Gemeinsam mit den vorhandenen Beratungsstellen, Sensibilisierungsangeboten und Vereinen soll eine Sensibilisierungskampagne geplant werden, die zur breiten Aufklärung und Sensibilisierung der Bevölkerung führt.

Begründung :

Neben den vielen Vorteilen, die das Internet bietet, zeigt ein Blick auf verschiedene Studien, dass ein übermässiger Gebrauch des Internets und insbesondere der Konsum von Sozialen Medien auch negative Folgen hat, die im schlimmsten Fall entwicklungs- und gesundheitsbeeinträchtigend sein können.

Es geht dabei vor allem um psychische Folgen für Kinder und Jugendliche. Zunehmend ist die Rede von «Digitalem Stress», wenn es darum geht aufzuzeigen, was bei Jugendlichen mit übermässigem Social-Media-Konsum vor sich geht.

Studien zeigen auf, dass der suchtartige Konsum von sozialen Medien mit der allgegenwärtigen Informations- und Kommunikationsflut und den belastenden Inhalten zu bedenklichen Folgen für die psychische Gesundheit führen können.

Eng damit verbunden ist eine steigende Tendenz an depressivem Verhalten sowie einer Suizidgefährdung bei Jugendlichen.

Fachpersonen stellen fest, dass das Thema in der Gesellschaft und damit auch von den Erziehungsberechtigten zu wenig Aufmerksamkeit erhält.

Als Folge davon werden frühzeitiges Erkennen und Handeln erschwert.

Seit Corona, also innerhalb einer kurzen Zeitspanne, hat der Konsum von Sozialen Medien bei Jugendlichen deutlich zugenommen. Die negativen Folgen zeigen sich nun nach und nach. Soziale Medien bringen einerseits Menschen einander näher, anderseits können diese damit von den Mitmenschen und der realen Welt entfremdet und isoliert werden.

Problematische, wenn nicht gefährliche Inhalte, treffen ungefiltert auf Jugendliche und nehmen grossen Einfluss auf ihr Leben und ihre Entwicklung.

Besonders schädlich für die psychische Gesundheit sind das Gefühl der sozialen Isolation, wenn man Ablehnung in sozialen Medien erfährt, Einsamkeit und Cybermobbing.

Ausserdem ist die sogenannte «Filterblase», in der sich Jugendliche auf sozialen Medien bewegen und die durch entsprechende Algorithmen geschaffen werden, als besonders kritisch zu betrachten.

Dazu kommen gefährliche Trends sowie «Challenges», die immer wieder im Netz kursieren und junge Erwachsene psychisch und körperlich gefährden.

Die Schule übernimmt einen wichtigen Bildungsauftrag im Bereich «Umgang mit Medien». Es ist aber ersichtlich, dass dieses Thema auch ausserhalb der Schule deutlich mehr Aufmerksamkeit und Präventionsarbeit braucht.

Aus diesem Grund darf Prävention und Aufklärung rund um dieses Thema nicht nur im Bereich Kinder und Jugendliche, sondern auch im Bereich Erwachsenenbildung angesiedelt sein.

Der Kanton soll Gefässe wie «Heb Sorg», Aktionstage Psychische Gesundheit und Aktionen in den Berufsschulen für die Sensibilisierung und Kompetenzerweiterung der Jugendlichen einsetzen.

Es braucht wirksame Präventionsmassnahmen, Anlaufstellen für Eltern und Jugendliche sowie eine breite Aufklärungsarbeit, wenn es um die psychische Gesundheit und Unversehrtheit unserer Jugend im Umgang mit Sozialen Medien geht.

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