Non à Frontex : la fable de la guillotine

Le dossier Frontex concerne le contrôle aux frontières. Il est du ressort du Conseiller fédéral Ueli Maurer. Vu son scepticisme à l’égard de Schengen-Dublin dans lequel s’inscrit Frontex, c’est sa collègue Karin Keller Sutter qui mène le combat.

Investir dans la sécurité de l’approvisionnement plutôt que dans le réarmement

La majorité de droite du Conseil national a décidé aujourd’hui, contre la volonté du PS, d’augmenter progressivement les dépenses pour l’armée de cinq milliards et demi à environ sept milliards de francs d’ici 2030. Cette décision est irréfléchie et manque de sérieux et de concept. Elle n’apporte pas non plus de gain de sécurité : si la droite prenait au sérieux la sécurité de la population suisse, elle se montrerait ouverte à un développement rapide des énergies renouvelables, car la dépendance énergétique vis-à-vis de régimes autocratiques constitue une réelle menace.

Mettre fin au laisser-faire coupable : Guy Parmelin doit agir ! 

La Suisse est de plus en plus sous pression internationale en raison de son laxisme dans l’application des sanctions contre les oligarques russes. Depuis le début de la guerre, le PS Suisse exige une application stricte des sanctions internationales afin de mettre un terme au financement de la guerre par notre pays. L’inaction et l’irresponsabilité organisées et persistantes, notamment au sein du Secrétariat d’État à l’économie (SECO) et du conseiller fédéral titulaire Guy Parmelin, deviennent un sérieux problème. 

L’impact des CFF sur le prix des loyers en Suisse

Un large projet immobilier fait actuellement débat à Zurich, sur un ancien site de réparation des CFFs. Dépassant la simple question de l’octroi d’un permis de construire, il met en lumière un problème fondamentale : la spéculation immobilière des CFF, qui menace le développement de logements abordables dans notre pays.

Lâchez-nous l’uterus !

Blog de Frédérique Beauvois, membre du comité directeur des Femmes socialistes, 4 mai 2022 Les droits acquis ne le sont jamais. Jamais. Nous en avons aujourd’hui un sinistre exemple aux […]

Don d’organes : le choix de sauver des vies

Le 15 mai, notre bulletin de vote aura un poids particulier. Via la modification de la loi sur la transplantation, il décidera d’une question de vie, de souffrance ou de mort. L’an passé, plus de septante personnes sont mortes alors qu’elles auraient pu vivre si notre pays avait eu assez de dons d’organes. Ce sont des enfants, de jeunes pères ou mères de famille ou des personnes plus âgées avec une longue espérance de vie.

Le PS renforce le régime de sanctions de la Suisse

En cas de violations graves du droit international, comme la guerre d’agression menée par Poutine en Ukraine, la Suisse doit pouvoir imposer des sanctions rapidement et de manière autonome – dans l’optique d’une neutralité active. Il est donc très réjouissant que la Commission de politique extérieure du Conseil national (CPE-N) ait clairement approuvé une proposition en ce sens du conseiller national socialiste Fabian Molina (ZH) datant de 2019. En effet, la Suisse, en tant que place commerciale et financière de première importance, dispose d’un levier conséquent pour pouvoir couper les flux financiers qui appuient des guerres.

Le recours à l’aide sociale ne doit pas être un motif de renvoi

La pauvreté peut nous toucher toutes et tous. La crise du coronavirus l’a montré de manière impressionnante. Il est donc d’autant plus réjouissant que la Commission des institutions politiques du Conseil national (CIP-N) se soit prononcée en faveur de l’adoption de l’initiative parlementaire « La pauvreté n’est pas un crime » de la conseillère nationale socialiste Samira Marti (BL). Le plénum du Conseil national doit maintenant lui emboîter le pas. Il n’est pas acceptable que des étrangères et étrangers vivant en Suisse depuis des décennies puissent continuer à être expulsé-es du pays uniquement parce qu’elles et ils perçoivent l’aide sociale en cas de besoin. 

Pour un mécanisme de sauvetage, sous conditions

Le Conseil fédéral a annoncé aujourd’hui qu’il allait créer une base légale pour un mécanisme soutien aux entreprises électriques d’importance systémique en difficulté financière, afin d’éviter des ruptures d’approvisionnement. Le PS salue ce »parachute de secours », en tant que contribution à la sécurité d’approvisionnement de notre pays. Les conditions prévues par le Conseil fédéral pour le soutien en cas de crise ne vont toutefois pas assez loin.

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  • Si un thème te touche particulièrement, tu peux t’engager dans une commission thématique du PS Suisse ou de ton parti cantonal, ou encore dans l’une des sous-organisations telles que les Femmes socialistes, le PS Migrant-es, le PS 60+ ou le PS queer.
  • Il y a aussi souvent la possibilité d’assumer une fonction interne au parti, par exemple au sein du comité de ta section.
  • Si tu le souhaites discuter d’une candidature à une fonction publique, par exemple à la commission scolaire de ta commune, tu peux prendre contact avec ta section.

Afin de réaliser ses actions et son travail politique, le PS compte surtout sur l’engagement de ses membres. Mais la défense de nos valeurs nécessite aussi des moyens financiers.
Les cotisations des membres sont fixées, différemment, par les partis cantonaux et les sections locales et dépendent de ton revenu imposable. Nous suivons nos propres exigences politiques : celle ou celui qui gagne peu, paie peu, et celle ou celui qui gagne beaucoup, participe davantage aux coûts du parti et de sa politique.
En règle générale, les cotisations annuelles sont de l’ordre de 80 CHF pour les personnes à faible revenu et progressent à quelques centaines de francs pour les personnes à haut revenu.
Ces cotisations sont perçues annuellement.

Bien sûr ! Il n’est absolument pas nécessaire de posséder le passeport suisse pour pouvoir adhérer au PS.
Toute personne vivant en Suisse doit pouvoir participer aux débats politiques.

Tu as différentes possibilités de t’engager. Si tu veux être actif-ve au niveau local, adresse-toi à la section de ta commune de domicile.
C’est aussi le lieu le plus adapté pour t’engager dans une fonction publique ou un service au sein de l’administration (Conseil communal, Commission scolaire, Commission sociale…)
Tu peux également faire valoir ton savoir et ton savoir-faire en exerçant une fonction interne au parti. Le PS recherche toujours des personnes désirant s’engager dans l’organisation du parti (communes, districts, canton, commissions thématiques).

Il suffit de manifester ton intérêt aux responsables de ta section. C’est la section qui désigne les candidat-es du PS pour des fonctions publiques.
Ta section locale est souvent aussi le point de départ du processus de nomination interne au parti pour les candidatures au gouvernement cantonal (par exemple au Grand Conseil).

Aucune, excepté ta cotisation. Le partage de nos valeurs et de nos convictions est tout de même une condition préalable. Cela ne signifie pas pour autant de partager l’intégralité des positions du PS.

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