Un grand merci Pascale !

L’annonce du retrait de la conseillère aux Etats Pascale Bruderer pour la fin de la législature 2019, est une lourde perte pour le PS comme pour la politique suisse en général. « Avec Pascale Bruderer, c’est une politicienne aussi qualifiée qu’appréciée qui quitte la scène politique nationale », déclare ainsi le président du PS Christian Levrat. « Je me réjouis cependant de notre collaboration au Conseil des Etats pour les deux prochaines années. Au nom du PS Suisse, je tiens dès à présent à remercier Pascale Bruderer pour tout l’engagement dont elle a su faire preuve en faveur d’une Suisse plus sociale et ouverte au monde, et lui souhaite tout le meilleur pour son avenir tant professionnel que personnel. »

Les partis bourgeois s’opposent à ce que les travailleurs âgés soient mieux protégés !

Les travailleurs et travailleuses âgés connaissent une situation difficile sur le marché du travail. Lorsqu’ils sont confrontés au licenciement, ils ne retrouvent que très difficilement une nouvelle place de travail et sont par conséquent poussés vers le chômage. Or, toutes les propositions qui ont été faites jusqu’ici dans le but d’améliorer leur situation se sont heurtées au refus des partis bourgeois qui préfèrent faire la sourde oreille. Preuve en est le refus de la majorité de droite de la Commission des affaires juridiques du Conseil National (CAJ-N) de l’initiative parlementaire du conseiller national bernois Corrado Pardini demandant une protection contre le licenciement pour les travailleurs et travailleuses de plus de 55 ans.

Turquie : le Conseil fédéral doit défendre le droit international, la paix et la population civile !

Depuis le 20 octobre 2018, les forces armées turques bombardent le territoire syrien et la population de la région kurde d’Afrin. De nombreuses victimes civiles sont déjà à déplorer. Il est temps pour le Conseil fédéral et le DFAE de dénoncer la violation du droit international en demandant l’arrêt des opérations militaires, le retrait des troupes turques de Syrie, l’adoption d’une résolution par le Conseil de Sécurité de l’ONU et le retour des tous les acteurs à la table des négociations dans le but de d’instaurer la paix et de permettre aux civils de construire un futur fait d’espoir et non de violence et de bombes.

Les sept contradictions fondamentales des partisans de No-Billag

L’initiative populaire No-Billag propose une transformation très substantielle des bases constitutionnelles du paysage audiovisuel Suisse. Si lancer une initiative populaire est un droit constitutionnel qui n’est pas discuté, attendre des initiants un minimum de cohérence et de bonne foi constitue aussi un droit des citoyens. Or, le lancement de la campagne des partisans du oui montre que leur démarche est truffée de contradictions grossières. Parmi ses multiples incohérences, sept sont fondamentales.

La Confédération doit assurer l’offre de l’ATS

Le PS est préoccupé par le démantèlement de l’agence d’information ATS. Les licenciements et les mesures de suppression sont la conséquence directe de la course au rendement à tout prix des grandes maisons d’édition. La situation risque de s’empirer encore avec la fusion de l’ATS et de Keystone. Le PS demande au Conseil fédéral de sauver le service public fourni par l’ATS. La Confédération ne doit pas subventionner indirectement les grandes maisons d’édition mais fixer les conditions-cadres pour un journalisme de qualité. Au besoin, à l’aide d’une agence d’information à but non lucratif.

« Économie 4.0 » – un pas de plus vers un nouveau concept économique du PS

Le dernier concept économique du PS a été adopté en 2006. Depuis, il y a eu beaucoup de changements. Depuis le coup d’envoi, donné le 26 août 2017, de nombreux membres et experts du PS travaillent à l’élaboration d’un nouveau concept économique. Le comité directeur a adopté vendredi passé le document analytique « Économie 4.0 » qui sera présenté à la prochaine Assemblée des délégué-e-s.

Transparence salariale: pas encore une victoire d’étape, mais un signe encourageant

La commission pour la science, l’éducation et la culture du Conseil des États (CSEC-E) a voté aujourd’hui l’entrée en matière concernant la transparence salariale. Certes, le problème de la discrimination salariale des femmes reste entier, mais une partie de la droite le reconnait enfin comme tel et se montre prête à soutenir le PS dans ses efforts visant à supprimer l’écart salarial entre les hommes et les femmes.

Les deux cibles de « l’initiative de résiliation » de l’UDC: les accords bilatéraux et les mesures d’accompagnement

L’UDC lance aujourd’hui l’initiative de résiliation qui vise à supprimer la libre-circulation et, par conséquent, les accords bilatéraux avec l’Union européenne. C’est la première fois que l’UDC choisit clairement son camp et demande au peuple de se prononcer directement sur la relation entre la Suisse et l’UE. L’UDC joue enfin cartes sur table, le PS refuse résolument l’initiative. Non seulement elle provoquerait la mort des accords bilatéraux, elle supprimerait également les mesures d’accompagnement qui assurent les salaires décents ainsi que les conditions de travail correctes en Suisse.

La véritable concordance tient également compte des sexes !

Le PS ne montre absolument aucune compréhension face à l’attitude du camp bourgeois, qui ne veut rien savoir d’une représentation équilibrée des sexes au sein du Conseil fédéral. Pour le PS, la concordance ne s’arrête pas aux langues et aux régions : dans un pays moderne, qui prend l’égalité des sexes véritablement au sérieux, alors les sexes doivent eux aussi être équitablement représentés au sein du gouvernement.

Du plaisir de se faire peur !

Les explications de Roger Nordmann, conseiller national (VD) et président du Groupe socialiste aux Chambres fédérales, à propos de la reconduction du régime financier de la Confédération, sur laquelle nous votons le 4 mars prochain.

BNS : Il est temps de changer de cap

La Banque nationale suisse (BNS) a payé cher son bénéfice record de 54 milliards de francs : il y a trois ans, l’abandon du taux plancher a coûté 100’000 emplois. Pour cette raison, le PS demande à la BNS de changer de cap : elle doit mettre en place un taux plancher de 1,25 franc. En plus, il faut instaurer un fonds public pour redistribuer une partie des bénéfices à la population.

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  • La plupart des sections organisent régulièrement des assemblées générales pour discuter de thèmes et d’activités politiques actuels. La participation à ces réunions est bien sûr également totalement volontaire. Mais c’est toujours une occasion d’y rencontrer de nouvelles personnes.
  • Si un thème te touche particulièrement, tu peux t’engager dans une commission thématique du PS Suisse ou de ton parti cantonal, ou encore dans l’une des sous-organisations telles que les Femmes socialistes, le PS Migrant-es, le PS 60+ ou le PS queer.
  • Il y a aussi souvent la possibilité d’assumer une fonction interne au parti, par exemple au sein du comité de ta section.
  • Si tu le souhaites discuter d’une candidature à une fonction publique, par exemple à la commission scolaire de ta commune, tu peux prendre contact avec ta section.

Afin de réaliser ses actions et son travail politique, le PS compte surtout sur l’engagement de ses membres. Mais la défense de nos valeurs nécessite aussi des moyens financiers.
Les cotisations des membres sont fixées, différemment, par les partis cantonaux et les sections locales et dépendent de ton revenu imposable. Nous suivons nos propres exigences politiques : celle ou celui qui gagne peu, paie peu, et celle ou celui qui gagne beaucoup, participe davantage aux coûts du parti et de sa politique.
En règle générale, les cotisations annuelles sont de l’ordre de 80 CHF pour les personnes à faible revenu et progressent à quelques centaines de francs pour les personnes à haut revenu.
Ces cotisations sont perçues annuellement.

Bien sûr ! Il n’est absolument pas nécessaire de posséder le passeport suisse pour pouvoir adhérer au PS.
Toute personne vivant en Suisse doit pouvoir participer aux débats politiques.

Tu as différentes possibilités de t’engager. Si tu veux être actif-ve au niveau local, adresse-toi à la section de ta commune de domicile.
C’est aussi le lieu le plus adapté pour t’engager dans une fonction publique ou un service au sein de l’administration (Conseil communal, Commission scolaire, Commission sociale…)
Tu peux également faire valoir ton savoir et ton savoir-faire en exerçant une fonction interne au parti. Le PS recherche toujours des personnes désirant s’engager dans l’organisation du parti (communes, districts, canton, commissions thématiques).

Il suffit de manifester ton intérêt aux responsables de ta section. C’est la section qui désigne les candidat-es du PS pour des fonctions publiques.
Ta section locale est souvent aussi le point de départ du processus de nomination interne au parti pour les candidatures au gouvernement cantonal (par exemple au Grand Conseil).

Aucune, excepté ta cotisation. Le partage de nos valeurs et de nos convictions est tout de même une condition préalable. Cela ne signifie pas pour autant de partager l’intégralité des positions du PS.

Les membres de la Jeunesse socialiste ont la possibilité d’adhérer gratuitement au PS jusqu’à l’âge de 26 ans. Une demande correspondante peut être envoyée par courriel à [email protected].

Les statuts du PS Suisse interdisent l’adhésion simultanée à plusieurs partis suisses.
Les doubles nationaux peuvent être membres du PS Suisse et d’un parti frère étranger, par exemple du SPD allemand ou du Partito Democratico italien. L’adhésion au PS Suisse est gratuite pour les membres de partis frères, pour autant qu’ils puissent prouver qu’ils versent une cotisation à un parti socialiste dans leur pays d’origine.

Oui, même à l’étranger, tu peux t’impliquer dans la politique en tant que membre du PS Suisse. Si tu es domicilié à l’étranger, tu deviens automatiquement membre du PS International.

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