No Billag : Texte brutal, effets tranchants

Aujourd’hui, découvrez les conséquences funestes qu’aurait l’initiative « No-Billag » si elle venait à être acceptée en votation populaire, le 4 mars prochain, sur le paysage audio-visuel de notre pays, avec Roger Nordmann, Conseiller national vaudois et président du groupe socialiste aux chambres fédérales, qui a déterminé 10 arguments, pour lesquels il est crucial de dire NON à cette initiative dangereuse pour notre service public ! Découvrez maintenant 2 de ces points ; les points restants seront publiés au fil de la campagne.

Prévenir et lutter contre le harcèlement et l’abus sexuels

Le harcèlement et les abus sexuels sont au cœur de l’actualité depuis maintenant plusieurs semaines, notamment au travers du hashtag #MeToo. À raison, un débat public sur la violence sexuelle s’impose enfin sur la manière dont notre société se positionne sur cette thématique. Le PS en tire les conclusions politiques et a déposé différentes interventions visant à prévenir et lutter contre le harcèlement et les abus sexuels, notamment par des sanctions ciblées.

Le Groupe socialiste rejette à une large majorité l’initiative populaire « monnaie pleine »

Le Groupe socialiste a débattu aujourd’hui de l’initiative « monnaie pleine », en présence de représentant-e-s du Comité d’initiative. Le Groupe a décidé, à une grande majorité, de la rejeter : une transformation en profondeur du système financier et monétaire serait trop risquée, le pouvoir de la BNS trop important et l’instabilité des marchés financiers ne serait en rien diminuée. En revanche, le Groupe socialiste soutient le contre-projet direct, prévoyant d’imposer un taux de fonds propres de 10 % pour les banques d’importance systémique. L’objectif est de parvenir à un système financier stable.

Quelque chose ne tourne pas rond dans la très bourgeoise Suisse

Le classement des 300 plus riches de Suisse, établi par le magazine « Bilan », met en lumière l’importance de l’écart entre les « super-riches » et la population. Cette spirale négative est une des conséquences directes de la politique fiscale et économique menée par la droite. La Suisse doit impérativement changer de paradigme si elle entend maintenir la cohésion sociale essentielle à son développement. L’initiative 99 % « Alléger les impôts sur les salaires, imposer équitablement le capital » apporte les bonnes réponses.

Le PS dit NON à la destruction du paysage médiatique suisse

Le Comité directeur du PS Suisse a rejeté aujourd’hui, à l’unanimité l’extrémisme de l’initiative « No-Billag ». Le 4e pouvoir, incluant une offre radio / TV diversifiée et indépendante, ne peut être ainsi rayé de notre démocratie. En cas d’acceptation de l’initiative, ce n’est pas que la SSR qui sera touchée, mais bien 35 stations de radio ou de télévision locales et régionales. Cette destruction médiatique doit être combattue, avec un NON clair le 4 mars prochain.

Nombreuses interrogations sur le projet olympique à haut risque

Le Groupe socialiste aux Chambres fédérales a abordé aujourd’hui la question des Jeux olympiques d’hiver « Sion 2026 » et a, au vu du message du Conseil fédéral, formulé des attentes très claires quant aux conséquences financières et écologiques d’un tel projet, et en matière de participation démocratique. Dans tous les cas, il est clair pour le Groupe socialiste que la population doit pouvoir se prononcer sur un sujet de cette ampleur, en ayant connaissance de toutes les conséquences.

La majorité de droite veut paralyser l’Etat

Le virage à droite du parlement lors des élections fédérales de 2015 se manifeste tout particulièrement à l’occasion des débats budgétaires : l’on se montre généreux envers l’armée, l’agriculture ou les routes et l’on économise dans les domaines du social, de la coopération internationale et du service public. Le projet de budget 2018 de la Commission des finances du Conseil national (CDF-N) s’inscrit parfaitement dans cette logique : des coupes sont prévues dans les domaines de la solidarité internationale, des transports publics, de la culture ainsi que du personnel de la Confédération.

Causes de la fuite : une autocritique européenne est urgente

Le « Groupe de contact pour la Méditerranée centrale » se rencontrera lundi, à Berne, afin de débattre sur les manières de faire face aux mouvements migratoires. Cette conférence est aussi nécessaire que la recherche critique, pour la Suisse et l’Europe, de leur part de responsabilité aux causes de la fuite. Les raisons économiques de celle-ci — exploitation dans le commerce des matières premières, relations commerciales non équitables, drainages de plusieurs milliards par des échappatoires fiscales — émanent d’Europe. Ces situations sont par ailleurs exploitées dans de nombreux pays d’Afrique, par des cliques administratives autoritaires corrompues. La Suisse doit également remettre en question de manière critique la cohérence de sa politique migratoire, fiscale, et économique extérieure.

Attention au revers de la médaille

Dans l’euphorie générale de la numérisation, le PS rappelle qu’il ne faut pas oublier les travailleuses et travailleurs, pour qui cette modification économique représente plus de risques que de chances. Bons revenus, emplois sûrs et à durée indéterminée, conditions de travail humaines et une formation de qualité, sont, à l’ère de la numérisation, plus importants que jamais. Les partis bourgeois et les associations économiques ne doivent pas utiliser la numérisation comme un alibi pour imposer toute sorte de démantèlements dans le droit du travail.

NON au luxueux projet surdimensionné de Guy Parmelin

Guy Parmelin, ministre de la Défense, manque totalement sa cible sur la question de l’acquisition de nouveaux avions de combat. Pour rappel, en 2014, la population avait dit NON à l’achat de Gripen, dont les coûts étaient estimés à 3 milliards. Aujourd’hui, Parmelin entend acheter de nouveaux avions et un nouveau système de défense, mais pour la coquette somme de 8 milliards de francs ! Le tout se base sur des scenarii irréalistes, auxquels il convient de rappeler, en toile de fond, que le DDPS et Armasuisse sont déjà terriblement dépassés lorsqu’il est question de petites acquisitions.

Le plafond de verre se craquelle

La proportion entre hommes et femmes au sein des postes de direction dans le monde économique doit être rééquilibrée. La Commission des affaires juridiques du Conseil national (CAJ-N) a approuvé l’introduction de seuils pour la représentation des genres. Mais ceux-ci sont malheureusement formulés avec beaucoup de retenue et des possibilités de sanction font cruellement défaut, même si le signal envoyé par le monde politique aux milieux économiques est clair : travaillez enfin à plus d’égalité et à des équipes plus équilibrées !

Animation laden...Animation laden...Animation laden...

Newsfeed

Tu as des questions concernant l'adhésion ou le formulaire d'adhésion ? Nous sommes à ta disposition pour t'aider.

Questions fréquentes

Le plus simple est de remplir en ligne le formulaire d’adhésion ci-contre.

Tu décides toi-même de l’engagement qui te convient le mieux.

  • Si tu as peu de temps, il n’y a absolument rien de mal à ce que ton engagement se limite au paiement de ta cotisation. Ceci nous aide aussi à construire une Suisse et un monde meilleurs.
  • La section à laquelle tu es affilié-e te demandera parfois, si tu as le temps, d’être présent-e sur stand, de récolter des signatures ou de participer à une action téléphonique. C’est toujours un plaisir lorsque nos membres s’engagent et s’impliquent – mais c’est bien sûr entièrement volontaire.
  • La plupart des sections organisent régulièrement des assemblées générales pour discuter de thèmes et d’activités politiques actuels. La participation à ces réunions est bien sûr également totalement volontaire. Mais c’est toujours une occasion d’y rencontrer de nouvelles personnes.
  • Si un thème te touche particulièrement, tu peux t’engager dans une commission thématique du PS Suisse ou de ton parti cantonal, ou encore dans l’une des sous-organisations telles que les Femmes socialistes, le PS Migrant-es, le PS 60+ ou le PS queer.
  • Il y a aussi souvent la possibilité d’assumer une fonction interne au parti, par exemple au sein du comité de ta section.
  • Si tu le souhaites discuter d’une candidature à une fonction publique, par exemple à la commission scolaire de ta commune, tu peux prendre contact avec ta section.

Afin de réaliser ses actions et son travail politique, le PS compte surtout sur l’engagement de ses membres. Mais la défense de nos valeurs nécessite aussi des moyens financiers.
Les cotisations des membres sont fixées, différemment, par les partis cantonaux et les sections locales et dépendent de ton revenu imposable. Nous suivons nos propres exigences politiques : celle ou celui qui gagne peu, paie peu, et celle ou celui qui gagne beaucoup, participe davantage aux coûts du parti et de sa politique.
En règle générale, les cotisations annuelles sont de l’ordre de 80 CHF pour les personnes à faible revenu et progressent à quelques centaines de francs pour les personnes à haut revenu.
Ces cotisations sont perçues annuellement.

Bien sûr ! Il n’est absolument pas nécessaire de posséder le passeport suisse pour pouvoir adhérer au PS.
Toute personne vivant en Suisse doit pouvoir participer aux débats politiques.

Tu as différentes possibilités de t’engager. Si tu veux être actif-ve au niveau local, adresse-toi à la section de ta commune de domicile.
C’est aussi le lieu le plus adapté pour t’engager dans une fonction publique ou un service au sein de l’administration (Conseil communal, Commission scolaire, Commission sociale…)
Tu peux également faire valoir ton savoir et ton savoir-faire en exerçant une fonction interne au parti. Le PS recherche toujours des personnes désirant s’engager dans l’organisation du parti (communes, districts, canton, commissions thématiques).

Il suffit de manifester ton intérêt aux responsables de ta section. C’est la section qui désigne les candidat-es du PS pour des fonctions publiques.
Ta section locale est souvent aussi le point de départ du processus de nomination interne au parti pour les candidatures au gouvernement cantonal (par exemple au Grand Conseil).

Aucune, excepté ta cotisation. Le partage de nos valeurs et de nos convictions est tout de même une condition préalable. Cela ne signifie pas pour autant de partager l’intégralité des positions du PS.

Les membres de la Jeunesse socialiste ont la possibilité d’adhérer gratuitement au PS jusqu’à l’âge de 26 ans. Une demande correspondante peut être envoyée par courriel à [email protected].

Les statuts du PS Suisse interdisent l’adhésion simultanée à plusieurs partis suisses.
Les doubles nationaux peuvent être membres du PS Suisse et d’un parti frère étranger, par exemple du SPD allemand ou du Partito Democratico italien. L’adhésion au PS Suisse est gratuite pour les membres de partis frères, pour autant qu’ils puissent prouver qu’ils versent une cotisation à un parti socialiste dans leur pays d’origine.

Oui, même à l’étranger, tu peux t’impliquer dans la politique en tant que membre du PS Suisse. Si tu es domicilié à l’étranger, tu deviens automatiquement membre du PS International.

Ce que t’offre le PS

Ce que tu peux attendre du PS.

Tu es proche de la politique : nous t’envoyons nos invitations, nos newsletters ainsi que notre magazine « Socialistes ». Tu peux réseauter avec des personnes partageant les mêmes idées que toi.

Tu peux apprendre des autres et apporter tes propres connaissances et compétences à différents niveaux au sein du parti.
Ensemble, créons un avenir meilleur !

Pas de démocratie sans formation. Nous te proposons des webinaires et des séminaires et nous t’offrons la possibilité d’acquérir des connaissances générales et d’échanger sur des thèmes politiques actuels.

Inscrivez-vous et ne manquez plus aucune actualité :