Dans sa prise de position, le PS Migrant-e-s en appelle à une discussion approfondie au sein de la société sur la protection des droits humains, du respect mutuel et des rencontres diverses. Selon lui, les cantons devraient également créer une base juridique permettant à l’Etat de reconnaître les communautés religieuses dans des conditions clairement définies. L’impôt ecclésiastique doit être remplacé par une taxe culturelle générale avec le droit d’indiquer qui doit y bénéficier.
Dans un deuxième papier de position, le PS Migrant-e-s demande que soit maintenu le droit à la double nationalité. La double nationalité favorise l’intégration ainsi que les accès aux études et au marché du travail. Les obstacles encore existants doivent être supprimés.
Un troisième papier de position traite du problème du profilage racial. Le racisme n’a pas sa place dans notre société et ne doit jamais, de quelconque manière, influencer le contrôle des personnes par les forces de l’ordre. Le PS Migrant-e-s exige des mesures juridiques, ainsi que des actions concrètes allant dans ce sens, y compris des études statistiques sur les activités de contrôle, la mise en place de points de contact indépendants pour les victimes, ainsi que l’introduction d’un système de décharge du côté des forces de l’ordre.