L’insécurité ambiante, en place depuis l’acceptation de l’initiative contre l’immigration de masse, est aujourd’hui quelque peu atténuée. Après le Conseil fédéral, le Conseil national a également adopté une motion socialiste, demandant clairement que les accords bilatéraux ne soient pas abandonnés sans que le peuple ait la possibilité de s’exprimer.
Contrairement à la recommandation de leur conseiller fédéral, Didier Burkhalter, le PLR a voté contre cette motion. Le projet des « accords bilatéraux », autrefois porté par les libéraux-radicaux a été totalement abandonné, confirmant ainsi l’alliance de la droite bourgeoise avec la politique nationale-conservatrice et isolationniste de l’UDC.