Le discours, le narratif autour de l’intelligence artificielle (IA) générative est construit par les actionnaires et leurs mercenaires des entreprises, voir des fonds d’investissements qui détiennent les entreprises qui cherchent à faire du profit en vendant leur solution.
La vente de leurs « solutions d’IA » génère d’énormes bénéfices. Ce n’est de loin pas la vérité sur les algorithmes qui les sous-tendent.
La financiarisation des politiques publiques est de plus en plus importante et touche tous les domaines des services publics, ce qui accélère la privatisation des biens publics et ce qui remet en cause le vivre ensemble.
Les éléments présentés dans le résumé des conclusions de la Conférence d’automne 2024 doivent être considérés comme des compléments à la prise de position du PS Suisse, adoptée par le conseil du parti en septembre 2024.
Rita Schmid et Dominique Hausser, coprésidence du PS60+
Fiche d’information sur la succession numérique
Nous réservons nos vacances en ligne, ou achetons des billets pour un concert ou le cinéma. Nous payons par carte de crédit ou Twint. Nous partageons nos photos de vacances sur les réseaux sociaux et les enregistrons sur un cloud.
Pour toutes ces transactions,nous créons des profils et des données avec des mots de passe et des noms d’utilisateur-trice. Chaque fois que nous nous déplaçons dans l’univers numérique, nous laissons des traces sur les téléphones portables et les ordinateurs. Ces données sont appelées « succession numérique ». A qui appartient cette succession numérique ?
Regula-Sibylle Schweizer, Secrétariat central